Alerte au Covid ; mais pas besoin de paniquer.
Le COVID ne va jamais disparaitre. Ce n'est pas seulement une pandémie. Le virus s’est bel et bien enracine dans la nature humaine – il est devenu endémique.
Alerte au Covid ; mais pas besoin de paniquer.
Alors que nous ne cessons de retomber dans de nouveaux ‘verrouillages’ sanitaires,
avec mandats de masques, impositions de vaccins, pass-QR…,
il peut être utile de rappeler à chacun un fait important :
le COVID ne va jamais disparaitre. Ce n'est pas seulement une pandémie.
Le virus s’est bel et bien enracine dans la nature humaine – il est devenu endémique.
Nous l'aurons toujours avec nous.
De plus, vous allez presque certainement attraper COVID si vous ne l'avez pas déjà fait. Tous…
Ils nous disent maintenant que même les vaccinés contractent le virus.
Tout le monde l'obtient. Tout le monde l'aura. Et presque tout le monde s'en remettra.
Alors, pourquoi s’inquiéter ? Cessons d'essayer de l'éviter.
Plus on est jeune, plus il est facile de s'en remettre.
Pourquoi s'alarmer ? L'angoisse provient de l'inconnu, mais ce virus n’est plus un inconnu.
Il rode autour de nous, et tous l'obtiendront un jour ou l’autre,
tout comme nous obtiendrons beaucoup d'autres choses aussi, au cours de nos vie.
Nous finirons par subir un cancer sous une forme ou une autre.
Presque tout le monde contracte le cancer à moins de mourir d’abord.
Tu mourras. Tout le monde meurt. Tu ne peux pas y échapper non plus.
Tu souffriras et tu mourra, et cela te fera probablement mal quand cela arrivera.
C'est la vie dans laquelle nous sommes né. Naissance et mort se rencontrent.
Ce qui nous rend unique, c'est que nous sommes conscients de notre situation.
Nous savons que nous allons mourir. On peut compter les années ou même les jours.
Quand nous apercevons des tombes, nous savons qu'un jour nous y trouverons notre place.
La grippe annuelle est plus dangereuse pour les enfants que le COVID,
et pourtant personne n'a jamais suggéré de forcer les enfant a porter de masques contre grippes.
Donc rendre les masques obligatoires aux enfants,
révèle à quel point nos combats contre le COVID sont insensés.
Personne auparavant n'a jamais pensé lutter contre la grippe avec des masques.
Ce n'était pas envisagé, car bien que la grippe soit un plus grand danger pour les enfants
que le Covid, il n'y a jamais eu de campagne de propagande pour nous en faire peur.
Nous avons peut-être été préoccupés par la grippe, prudents à son sujet dans une certaine mesure,
mais nous avons maintenu une perspective appropriée et avons continué à vivre nos vies.
Beaucoup ont perdu leur capacité de réagir de manière raisonnée face au COVID.
Ils sont submergés par leur propre crainte. C’est la peur est la vraie pandémie maintenant.
Le virus COVID ne saurait détruire notre civilisation.
Ce virus de l’effroi le pourrait et déjà lui fait tant de tort.
Ayant contemplé toutes les données, il y a deux voies possibles :
L'une consiste à se planquer et à vivre paralysé par l’anxiété ;
être si soucieux de protéger sa vie que l’on ne fait plus rien, et en traitant la vie
comme une sorte d'objet de collection à conserver dans un emballage sur une étagère.
Beaucoup ont choisi et continuent de choisir cette voie
parce que la pensée de la mort leur est si intolérable.
Ils n'avaient jamais contemplé leur propre mortalité avant que tout cela advienne,
et maintenant qu'ils sont obligés de le faire, le défi leur est insupportable.
Ils crient SOS aux gouvernements-nounous ; comptent sur les autorités civiques et médicales
pour les protéger, de les garder en sécurité, et de leur murmurer des paroles rassurantes.
Pourtant on ne peut être préservé de la mort éternellement.
Emprunter cette voie la fait perdre une grande partie de la vie !
Passer son temps essayant d'empêcher l’inévitable,
c'est ce qui rend cette option fondamentalement irrationnelle et tragique.
L'autre chemin c’est de conquérir la psychose, de sortir, sentir le soleil, respirer l'air,
et vivre la vie tant que nous le pouvons, car qu'y a-t-il d'autre à faire ?
Cela ne préconise pas que nous soyons imprudents ou que nous ne prenions aucune précaution.
Cela signifie simplement que nous devons retrouver un certain sens des proportions.
Combien d'années pouvons-nous vraiment nous permettre de gâcher
en nous cachant derrière des masques et des barrières en plexiglas,
peur de tout contact humain, peur des foules, peur même de la vie normale ?
Trop ont déjà laissé cette folie gaspiller un an et demi de leur existence.
Combien de mois ce foutu Covid va-t-il encore en revendiquer ?
Quand est-ce que cela ne vaudra plus le coût de s’isoler ? Cela n'a jamais valu le coût !
Choisissons la voie délivrée d’anxiété et libérée de toute paranoïa.
Nous serons aussi morts que tout le monde à la fin, mais au moins nous aurons vécu entre-temps.
- (Mal)-Traduit, adapté et inspiré d'un article de Matt Walsh – 14-08-2021 sur le ‘Daily Wire’